Rien n’est plus agréable que de découvrir un écrivain, qui vous donne envie de lire tout ce qu’il a écrit.
Au festival du livre à Nice, en juin de cette année, Jean d’Aillon m’a paru très sympathique et comme je l’ai déjà dit dans un précédent article, j’ai donc acheté trois de ses romans : Le Mystère de la Chambre bleue, La Conjuration des Importants et La conjecture de Fermat.
Étant très en retard dans mes lectures, je viens juste de finir le premier qui m’a littéralement captivée. Quelle écriture attrayante et envoûtante !
Une fois le livre refermé, vous n’avez qu’une envie, connaître la suite des aventures de l’intrépide notaire, Louis Fronsac. Il est évident que je vais passer quelque temps, à découvrir cette époque mouvementée qu’est le dix-septième siècle, alors que d’habitude, je suis plutôt attirée par le dix-neuvième.
Mon seul regret, ne pas avoir découvert cet écrivain auparavant mais comme dit le proverbe, mieux vaut tard que jamais.
Grand moment de littérature en perspective…