Après un divorce, Irène, la quarantaine, vit avec sa fille Solenne. En plein conflit, mère et fille se séparent le temps d’un été avant de prendre une décision qui changerait leur quotidien… Irène, désemparée et plus seule que jamais, éprouve le besoin de retrouver son amie d’enfance, Patricia, perdue de vue depuis vingt ans ! Réussiront-elles à renouer avec ce lien si particulier qui les unissait alors ? Le passé les aidera-t-il à prendre le pas sur leur destin ? Est-il possible de refaire le chemin à l’envers sans se perdre en cours de route ?
Il se dégage de ce roman une atmosphère particulière, qui vous enveloppe d’un manteau d’émotions, jusqu’aux dernières pages tournées.
Les personnages, plus vrais que nature, nous entraînent dans leur sillage, à la recherche d’eux-mêmes.
Une quête de vie, une quête d’aujourd’hui avec ses désillusions, ses peines, mais aussi ses joies, sans lesquelles, tout premier pas ne peut se faire.
Une belle leçon d’humanité, car parfois, sans même le vouloir, notre regard sur l’autre, peut faire mal, si mal…
Marie-Laure Bigand nous tient par la main jusqu’au bout du chemin, nous offrant cette sensibilité à fleur de mots, qui fait de ce livre un grand et beau roman, de ceux que l’on n’oublie pas, que l’on ne veut surtout pas oublier…