Voici la suite des aventures de Guilhem d’Ussel, dont j’avais déjà parlé lors d’un précédent article.
Cette fois-ci, l’histoire se déroule à Paris en 1199.
On découvre un Richard Cœur de Lion, qui est loin des clichés de films de cape et d’épée. Ce dernier est atteint par un carreau d’arbalète, au cours d’un siège, et décède peu après. Sa mère, Aliénor, demande à Robert de Locksley, le célèbre Robin des Bois, de retrouver le chirurgien qui est, selon elle, responsable de la mort du roi. Mais le jeune homme est aussi accusé d’avoir dérobé un trésor.
S’ensuit alors une cavalcade effrénée pour Robin Hood.
Un seul homme pourra réellement l’aider, Guilhem d’Ussel, qui n’apparait en fait, que vers le milieu du roman.
Dans le Paris de Philippe Auguste, nos héros vont faire des rencontres insolites avec des tisserands cathares. Mais des templiers cherchent aussi notre brave Robert de Locksley.
Bref, une intrigue palpitante, une description minutieuse des lieux, des expressions empruntées à l’époque, des rencontres surprenantes avec des héros de la littérature, font de ce roman un grand moment de lecture.
Avec Jean d’Aillon, on ne s’ennuie jamais et une fois refermé le livre, un seul constat s’impose : Vivement le prochain !