MARSEILLE, 1198. Enlevé par des inconnus, Roncelin, vicomte de Marseille, a disparu. Sept compagnons partent à sa recherche. Parmi eux, Hugues de Fer, ancien croisé, le médecin Averroès, un frère et une sœur saltimbanques romains, et le meilleur archer d’Angleterre, Robert de Locksley. A leur tête, Guilhem d’Ussel, joueur de vielle et fine lame.
Mais, dans cette équipée, certains semblent être animés de tout autres desseins… Quelles sont les véritables raisons de leur venue à Marseille ? Quel est le rôle des consuls de la ville ? Pourquoi ces écorcheurs qui rôdent dans les campagnes ? La riche ville phocéenne attire bien des convoitises, à commencer par celle du pape Innocent III…
C’est une cavalcade effrénée à travers l’histoire, que nous propose Jean d’Aillon pour ce roman.
J’ai beaucoup aimé le rythme trépidant et les scènes d’actions, un peu comme dans un film. L’ajout de personnages pour le moins célèbres est un plus, qui lui donne un piquant non négligeable.
Un roman que j’avais du mal à poser ( allez encore un chapitre ! Mince, déjà une heure du matin !!!)
Heureusement que c’était les vacances…
Et toujours, avec des descriptions historiques subtilement dosées.
Bref, Guilhem d’Ussel n’a rien à envier à Louis Fronsac.
Alors, un conseil, laissez-vous tenter par les aventures de ce chevalier troubadour….