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Étiquette : jean d’aillon

J-1 avant ma première rencontre-dédicace à Nice

 

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"Laurence Lopez Hodiesne Sorbonne"

 

 

C’est demain 😀

J’ai tellement hâte d’y être et en même temps, j’appréhende un peu.
Je ne me suis jamais prêtée à l’exercice avant, aussi ne puis-je m’empêcher d’être un peu nerveuse.

C’est toujours délicat pour les gens de demander une dédicace à un auteur  – j’en sais quelque chose 😉 – sauf que dans mon cas, nous serons deux à être gênés de chaque côté de la table ! Du moins au début, car j’espère bien m’en sortir quand même ! Heureusement, j’ai toujours eu un bon contact avec les gens, notamment dans mon ancien métier de secrétaire médicale. Tout cela en espérant la présence de quelques personnes bien entendu 😛

Puis, je suis tellement heureuse de pouvoir rencontrer de futurs lecteurs. La maison d’édition publiant ce roman m’a beaucoup aidé en ce qui concerne les corrections. Même si j’ai parfois trouvé le temps long…très long, je ne suis pas mécontente du résultat. Ce livre me tenant à cœur, j’espère vraiment qu’il trouvera son public. Une petite dédicace spéciale à Jean d’Aillon, écrivain dont j’adore les romans policiers historiques, celui-ci m’ayant soufflé l’idée d’utiliser un article de mon blog pour écrire un livre. C’est chose faite, même si, bien entendu, l’article en question n’a plus grand-chose à voir avec « Quelques mots auraient suffi », il fut toutefois le point de départ de cette histoire 😉

Alors, si vous aimez les destins de femmes, les histoires mystérieuses avec des secrets de famille, ces non-dits générant des conflits individuels ou familiaux dont il est difficile de se débarrasser, ce livre est fait pour vous 🙂

LLH

 

 

Récits cruels et sanglants durant la guerre des trois Henri de Jean d’Aillon

Recits-cruels-et-sanglants-durant-la-guerre-des-trois henri« Le capucin exorciste, Le faux-monnayeur bouilli tout vif, Mourir sur les chemins de Compostelle. »

Rien que les titres de ces trois courts récits nous laissent présager de la suite…

Le temps d’une lecture, on suit les traces d’Olivier Hauteville et Nicolas Poulain, héros d’autres romans de Jean d’Aillon, pour parcourir les chemins boueux d’une France ravagée par les guerres de Religion. Une France endoctrinée, inculte et de ce fait, facilement manipulable par le clergé.

C’est une véritable immersion dans une époque trouble, cruelle et sanglante. On y rencontre un « homme de Dieu » qui n’a guère de scrupules à faire accuser de sorcellerie une pauvre jeune fille innocente. On découvre que l’homme, assoiffé d’or, est prêt à utiliser les pires expédients pour s’emparer du métal précieux. Il peut même devenir une bête, un « loup garou », pour satisfaire ses bas instincts et terroriser une population trop crédule.

L’art de Jean d’Aillon consiste, à travers des intrigues bien ficelées, à nous faire découvrir ou redécouvrir un monde pour le moins barbare. Et toujours avec ce même souci du détail. Evidemment, les frissons sont garantis et en refermant le livre, on se dit que, finalement, notre époque a quand même quelques avantages…

La Malédiction de la Galigaï de Jean d’Aillon

malédiction caligai de jean d'aillonSi je devais conseiller l’un des nombreux romans de Jean d’Aillon pour une première lecture, j’opterai certainement pour La Malédiction de la Galigaï.

En effet, l’histoire, captivante, d’une grande fluidité, se lit presque d’un trait.

Cette fois-ci, c’est Gaston de Tilly, l’ami fidèle de l’homme aux rubans noirs, Louis Fronsac – le petit notaire devenu grand au fil d’aventures palpitantes – qui est au centre de l’intrigue.

Le récit démarre en 1617, avec le vol de la recette des tailles de Normandie. Concino Concini, assassiné peu après, en est-il l’instigateur ? Le père de Gaston, Louis de Tilly, lieutenant du prévôt général de Rouen, entre alors en scène. Mais peu de temps après, ce dernier et sa femme, décèdent  dans des circonstances tragiques.

Au moment de son exécution pour sorcellerie, Léonora Galigaï, épouse de Concino Concini, maudit tous ceux qui ont trahi son mari.

Trente ans plus tard, en 1649, Gaston de Tilly apprend enfin la vérité sur la mort de ses parents. Aidé de son ami Louis Fronsac, il tente alors de découvrir si les voleurs de 1617 y sont pour quelque chose. Mais les deux hommes se retrouvent embarqués dans une affaire terrible et complexe, où apparaissent de grands noms comme le Prince de Condé, cousin du roi ou le coadjuteur Paul de Gondi, pour ne citer qu’eux.

Nos héros devront esquiver de nombreux pièges, se tirer des griffes de personnages malveillants et sournois, mais aussi ménager des susceptibilités haut placées.

Avec son talent de conteur, à aucun moment, l’auteur ne nous laisse sur le bord de la route et c’est avec grand intérêt que l’on suit les péripéties des deux personnages emblématiques des ouvrages de Jean d’Aillon, Louis Fronsac et Gaston de Tilly.

L’Exécuteur de la haute justice de Jean d’Aillon

executeur de la haute justiceEn 1645, après la Conjuration des Importants, Louis Fronsac repart dans une aventure trépidante, aidé de son vaillant ami, Gaston de Tilly. Cette fois, il doit découvrir la vérité sur un jeune homme de quinze ans, qui serait le fils du duc de Rohan et pourrait devenir ainsi le chef de file des huguenots de France. Est-il un imposteur comme le prétendent certains…

Évidemment, l’enquête va se révéler extrêmement compliquée mais aussi fort dangereuse pour le jeune chevalier. Sur cette route semée d’embûches, Louis Fronsac croisera même un certain Jean-Baptiste Poquelin.

De rebondissements en rebondissements, l’auteur de ce roman, Jean d’Aillon, nous entraîne dans une course folle vers une fin totalement inattendue.

Avec toujours une abondance de détails concernant les lieux, les personnages ou bien les us et coutumes de l’époque, vous donnant ainsi l’impression que l’histoire se déroule sous vos yeux.

Alors, n’hésitez pas à suivre Louis Fronsac sur le chemin de ses aventures…

Le Mystère de la Chambre bleue

mystere de la chambre bleueRien n’est plus agréable que de découvrir un écrivain, qui vous donne envie de lire tout ce qu’il a écrit.

Au festival du livre à Nice, en juin de cette année, Jean d’Aillon m’a paru très sympathique et comme je l’ai déjà dit dans un précédent article, j’ai donc acheté trois de ses romans : Le Mystère de la Chambre bleue, La Conjuration des Importants et La conjecture de Fermat.

Étant très en retard dans mes lectures, je viens juste de finir le premier qui m’a littéralement captivée. Quelle écriture attrayante et envoûtante !

Une fois le livre refermé, vous n’avez qu’une envie, connaître la suite des aventures de l’intrépide notaire, Louis Fronsac. Il est évident que je vais passer quelque temps, à découvrir cette époque mouvementée qu’est le dix-septième siècle, alors que d’habitude, je suis plutôt attirée par le dix-neuvième.

Mon seul regret, ne pas avoir découvert cet écrivain auparavant mais comme dit le proverbe, mieux vaut tard que jamais.

Grand moment de littérature en perspective…

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